B2.1 - Segunda e Quarta (2020/2)
Prof. Tiana
Présenter une problématique liée à l’industrie agro-alimentaire de votre pays.
Objectifs :
1) Présentez une problématique sur le thème de l’industrie agro-alimentaire de votre pays.
2) Exprimer son sentiment et donner son opinion à ce sujet.
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En petits groupes, choisissez ensemble une thématique liée à la production agro-alimentaire de votre pays et à partir de cette thématique, faites des recherches : origine, conditions d’élevage ou de production, transport, transformation, emballages, distribution/lieux de vente, sécurité alimentaire et consommation, etc.
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Cherchez des articles de presse, francophones ou lusophones qui traitent de la thématique choisie, puis choisissez l’axe de la question à traiter = problématique.
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A partir de vos recherches, développez la problématique choisies et faites une présentation visuelle de vos recherches : photos, extraits de textes choisis, graphiques...
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En classe, présentez vos recherches à l’aide de la présentation : exposez les faits et situations, les arguments et donnez des exemples pour illustrer les propos.
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Enfin, chacun d’entre vous donne son sentiment et exprime son opinion sur le sujet traité.
Ana Flávia, Andressa et Manuela
Jordana, Lívia et Matheus.
Beatriz et Luciene.
POÈMES SUR LA VILLE
Le manque
Les bars, la foule, le bruit me manquent.
La nuit qui part, qui boit, qui danse me manque aussi.
Mes amis et le chaos ordonné que le week-end offre ici me manquent.
Que ça me manque de voir les lumières de la ville au-delà de l’angle de ma fenêtre
Ça me manque de découvrir les secrets de la ville que seules ces lumières peuvent dire.af
Ana Flávia Alvim Ribeiro
TES VENTS FORTS
Ma vie a changé quand je t’ai rencontré
Je t’ai vu et tu m’as prise dans tes bras
Tu m’as invitée à marcher parmi tes vents forts
C’est avec toi que j’ai appris ce qu’était l’amour
Aimer la vie
Aimer le vert
Aimer la pluie
C’est parmi tes rues et tes habitants que j’ai grandi
Mais j’ai dû te dire au revoir
Maintenant, mes yeux portent un peu de toi
Je te cherche partout et je ne te trouve que dans mon cœur
Andressa
Florence
Au bord de L’Arno vous dormez
Ceux qui dorment peuvent rêver
Le paysage qui fait créer
Les collines, les cyprès
Les jardins , le jeu de lumière
L’atmosphère où Vénus est née
Le souffle de l’art et votre histoire
Dites-moi, votre secret
Je n’aurai jamais de regrets
Le rouge de votre cœur
Qui danse dans la Duomo
Je bois des vins enjoués
Mon sourire est chaleureux
Je ne veux pas partir
Une petite saveur du paradis
Beatriz
OÙ EST-CE QUE JE ME SENS BIEN,
c'est de l'histoire et de la tradition
de la modernité en forme d’explosion
une contradiction parfaite
qui réchauffe notre coeur
exclamations corporelles et linguistiques
l'empathie en forme d’abondance
un art unique
qui rappelle notre essence.
famille, amis et connaissances
cuisine en forme d’excellence
tout un grand festin
où est-ce que je me sens bien
Jordana Buzahr
Les saisons
Tout change constamment !
Quand ils me demandaient ce dont je rêvais le plus,
Je ne disais jamais que vous étiez inclus.
Toutefois, vous êtes apparu sous un manteau blanc et si inconstant
De façon que ça m’a fait peur de cligner mes yeux, et de vous faire disparaître, en condensant.
Sur la colline, la neige s’accumule : la bataille est proche
Et personne n’a à s’inquiéter d’une catastrophe.
Mais, tout change constamment !
La neige a pris très longtemps,
Et le soleil s’est approprié le terrain, mécontent
Mais le fruit de l’attente est encore meilleur, ce sont les fleurs très belles qui ont émergé…
En formant la lettre « W » et embellissant le Bascom Hill,
Je pensais « suis-je en train de rêver ? »
Néanmoins… tout change constamment !
L’été est arrivé, et il fait trop beau,
De telle manière que je peux le sentir sur ma peau
Les jours sont plus longs, mais nous en avons profité avec intensité
Sur nos vélos rouges, ce n’est pas le moment de se reposer
Nous nous réveillons très tôt pour explorer le marché
Déguster et acheter leur fromage pour lequel ils sont très connus,
mais le partager sur le Picnic Point c’est le souvenir absolu.
Le temps passe trop vite, quand on s’amuse, et je ne sais pas le mesurer
J’imagine puis-je geler ce moment pour une saison de plus ?
Assise sur les chaises colorées, la belle vue sur les rives du lac m’a plu,
La chaleur dit au revoir dans le ciel bleu, orange et rose
Immédiatement mes énergies sont renouvelées et ça a déclenché quelque chose…
Une glace à la main, mes amis autour et une bière sur la table :
J’ai trouvé mon endroit heureux ! C’est indiscutable !
Tout change constamment !
Ma saison préférée est arrivée, puis comme si c’était une peinture
Elle a peint en jaune et rouge tous les jardins, en créant sa signature.
Le vent apporte avec lui l’odeur de la tarte aux pommes
Et le froid qui ne peut être chauffé qu’autour d’un feu préparant des S’more, annonce l’automne !
Je sais que tout change constamment et c’est l’heure de rentrer,
Mais ce qui ne changera jamais : c’est ma mémoire de toi et la liberté que vous m’avez+ apporté.
Merci de m’embrasser, ma douce et jeune Madison !
Lívia Prado
Sampa
Ce n´était pas le coup de foudre
À première vue elle était bruyante, agressive et effrayante
Elle a juste réussi à montrer son côté sombre
Elle était grise, rude et violente
Peut-être était-ce juste de la tristesse
Elle a tellement pleuré que tout a été inondé
Puis, le soleil a brillé, les fleurs ont éclos et les oiseaux ont célébré
Elle a ouvert son coeur et est devenue radieuse et passionnante
La terre de bruine a souri et m´a embrassée
Et quelque chose s´est passé dans mon coeur
Du coup, je suis tombée amoureuse
De sa vie culturelle, de sa gastronomie, de son mélange éclectique
Même de ses quatre saisons par jour
Et surtout de ses enseignements
Sampa, je te remercie !
Parce que tu m´as tellement appris
Que je suis tombée amoureuse de moi
Luciene Boaventura dos Santos
Canicule
la sécheresse de septembre
brûle la langue qu’on parle
insolente et tendre
à cinq heures je veux dormir
pour ne pas voir la vilaine lumière
qui descend et fait une ombre à la nageoire de la fenêtre
à l'arrivée de la nuit
ici où je ne suis pas étrangère je souffre
et même si j'apprends à aimer la beauté des racines
et même si j’écoute la cadence de la voix
et même si je m’ entraîne à parler pareil
il y a toujours la chanson de la fatigue
deux gouttes d’eau dans la tête
pas suffisant pour qui voudrait boire la mer
Manuela Camargo de Assis
J'imagine
Que serais-tu sans tes habitants?
Un endroit calme et paisible?
Ou peut-être mélancolique et triste?
Dis-moi où sont tes citoyens?
Est-ce que la pandémie t’empêche d’être toi-même?
Toujours dynamique et remplie d’histoire.
Où sont les moments partagés avec toi ma belle ville?
Ils n’existent plus?
Et alors les souvenirs, où sont-ils passés?
Ils ne restent que dans notre tête.
Oui, chaque jour sans te voir,
J’espère ne pas te perdre.
Je sais que tu restes toujours là,
Et tu me manques beaucoup
Se promener dans tes rues et contempler tes Ipês jaunes.
Attends-moi.
Je devrais bientôt profiter de toi.
